Le monde approche le quart de million de crypto-millionnaires, une explosion historique des richesses

LONDRES, 23 sept. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Le nombre de crypto–millionnaires a atteint un niveau sans précédent avec 241 700 individus recensés dans le monde, selon le Crypto Wealth Report 2025 récemment publié par Henley & Partners, spécialiste international en matière de résidence et de citoyenneté. Cela représente une hausse remarquable de 40 % en seulement 12 mois, portée par une envolée spectaculaire des millionnaires en Bitcoin — en augmentation de 70 % sur un an pour atteindre 145 100 détenteurs — et par une valorisation totale du marché qui a atteint 3 300 milliards de dollars en juin 2025, soit une progression de 45 % en un an.

Au sommet de la pyramide des richesses crypto, les ultra–fortunés se multiplient : 450 centi–millionnaires détiennent désormais des portefeuilles en crypto de 100 millions de dollars ou plus (+38 % en un an), tandis que le nombre de crypto–milliardaires grimpe à 36 (+29 %). Cette expansion coïncide avec une année charnière pour l’adoption institutionnelle, marquée par le lancement des premières cryptomonnaies initiées par un président et une première dame en exercice aux États–Unis.

Dominic Volek, responsable clients privés chez Henley & Partners, souligne que l’explosion des fortunes en crypto oblige les gouvernements et les gestionnaires de patrimoine à affronter une nouvelle réalité : « La finance traditionnelle part du principe que l’argent a une adresse, mais ce n’est pas le cas des cryptomonnaies. La géographie est devenue optionnelle. Avec seulement 12 mots mémorisés, un individu peut accéder à un milliard de dollars en Bitcoin, accessible instantanément depuis Zurich comme depuis Zhengzhou. »

Des richesses sans frontières

La transformation du Bitcoin, qui passe d’actif spéculatif à collatéral de référence, marque une évolution cruciale, comme le souligne Philipp A. Baumann, fondateur de Z22 Technologies, dans le rapport. « Le Bitcoin devient la pierre angulaire d’un système financier parallèle, où il n’est plus seulement un investissement spéculatif sur la hausse des monnaies fiduciaires, mais la monnaie de base pour accumuler de la richesse. »

Les implications philosophiques sont profondes, ajoute Samson Mow, PDG de JAN3, en soulignant la tension entre systèmes monétaires traditionnels et numériques : « Sur le long terme, la monnaie fiduciaire a une seule trajectoire : l’infini. Le Bitcoin, au contraire, n’a que 21 millions d’unités. » Cette opposition entre offre fixe et expansion infinie constitue, selon lui, « le paradoxe majeur de notre époque », alors que les gouvernements tentent de composer avec une forme de richesse échappant à tout contrôle monétaire classique.

L’intersection entre richesse crypto et mobilité mondiale s’accélère. Catherine Chen, responsable VIP et institutionnels chez Binance, observe que : « Cette nouvelle classe d’investisseurs mobiles se tourne de plus en plus vers les programmes de citoyenneté par investissement comme levier stratégique de flexibilité géographique et financière. »

Townsend Lansing, responsable produits chez CoinShares, confirme cette dynamique : « Portée par des vents réglementaires favorables, l’adoption institutionnelle n’a pas seulement commencé, elle explose. » Dr. Guneet Kaur, rédactrice en chef senior de CCN.com, abonde : « Plus de 100 économies explorent les MNBC (monnaies numériques de banque centrale), avec 49 pays déjà en phase pilote en juillet 2025. Elles promettent des paiements étatiques plus rapides et moins coûteux. »

Les juridictions crypto–friendly

L’Henley Crypto Adoption Index, outil exclusif mis à jour chaque année, classe les pays les plus favorables à la crypto disposant de programmes de migration par investissement. Alimenté par plus de 750 points de données, il offre aux investisseurs en actifs numériques un aperçu clair de la manière dont ces différentes juridictions proposant des programmes d’obtention de la résidence et de la citoyenneté par investissement réglementent et adoptent les cryptomonnaies et la blockchain.

L’indice évalue 29 programmes de migration par investissement selon six critères clés : adoption publique, adoption des infrastructures, innovation et technologie, environnement réglementaire, facteurs économiques et fiscalité favorable. Il permet ainsi aux investisseurs d’identifier les juridictions qui correspondent le mieux à leurs priorités.

Singapour domine avec des scores exceptionnels dans les domaines de l’adoption des infrastructures, de l’innovation et de la technologie, et de l’environnement réglementaire. Hong Kong (RAS Chine) arrive en deuxième position avec des facteurs économiques solides et une fiscalité très avantageuse, tandis que les États–Unis affichent de bons résultats en matière d’adoption publique et d’innovation et de technologie. La Suisse et les Émirats arabes unis complètent le top 5, ces derniers obtenant un score parfait de 10 en fiscalité, sans impôt sur le trading, le staking ou le minage crypto.

Malte et le Royaume–Uni brillent également par leurs cadres réglementaires sophistiqués, tandis que le Canada, la Thaïlande et l’Australie se positionnent parmi les leaders grâce à un bon équilibre de performances sur plusieurs facteurs.

Le Luxembourg apporte son expertise financière aux actifs numériques, tandis que le Portugal récompense les investisseurs patients : pas de taxe sur les plus–values après un an de détention. L’Autriche applique son régime de taxation des titres aux cryptos, l’Italie inclut les gains crypto étrangers dans son impôt forfaitaire pour nouveaux résidents, et Monaco attire les ultra–riches avec l’absence totale d’impôt sur le revenu.

Saint–Kitts–et–Nevis et Antigua–et–Barbuda acceptent la crypto pour les demandes de citoyenneté. La Thaïlande a récemment annoncé une exonération de cinq ans sur les plus–values liées au trading crypto. La Malaisie développe son secteur fintech via la Digital Free Trade Zone. Maurice, le Costa Rica, le Salvador, la Grèce, la Lettonie, la Nouvelle–Zélande, le Panama, la Turquie et l’Uruguay déploient, eux aussi, des stratégies pour séduire les investisseurs mobiles en actifs numériques.

Lire le communiqué de presse complet

Sarah Nicklin
[email protected]
+27 72 464 8965


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001128928)

World Nears Quarter Million Crypto Millionaires in Historic Wealth Boom

LONDON, Sept. 23, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — The ranks of crypto millionaires have surged to an unprecedented 241,700 individuals worldwide, according to the newly released Crypto Wealth Report 2025 by international residence and citizenship advisory specialists Henley & Partners. That’s a remarkable 40% increase in just 12 months, fueled by a dramatic surge in Bitcoin millionaires — up 70% year–on–year to 145,100 holders — and a booming total market valuation of USD 3.3 trillion as of June 2025, a 45% jump from a year previously.

At the apex of the crypto wealth pyramid, the number of ultra–wealthy individuals is rising sharply: 450 centi–millionaires now control crypto portfolios worth USD 100 million or more, up 38% since last year, while the number of crypto billionaires has climbed to 36, an increase of 29%. This significant growth coincides with a watershed year for institutional adoption, highlighted by the first–ever cryptocurrencies launched by a sitting US President and First Lady.

Dominic Volek, Head of Private Clients at Henley & Partners, says the surge of crypto–wealth is forcing governments and wealth managers to confront a new reality. “Traditional finance assumes money has a home address — but cryptocurrency doesn’t. Geography is now optional. With just 12 memorized words, an individual can secure a billion dollars in Bitcoin, instantly accessible from Zurich or Zhengzhou alike.”

Wealth Without Borders

The shift towards Bitcoin as collateral rather than a speculative asset marks a critical evolution as Philipp A. Baumann, Founder of Z22 Technologies, points out in the report. “Bitcoin is becoming the foundation of a parallel financial system, where [it] is not merely an investment for speculation on fiat price appreciation, but the base currency for accumulating wealth.”

The philosophical implications of this shift are profound, according to Samson Mow, CEO of JAN3, illustrating the tension between traditional and digital money systems: “Over any long–time horizon, fiat currency has one destiny: infinity. Bitcoin, on the contrary, has the opposite: 21 million.” This fixed supply versus infinite expansion represents what Mow calls “the defining paradox of our age”, as governments grapple with a form of wealth that exists outside traditional monetary control.

The convergence of crypto wealth and global mobility is accelerating. Catherine Chen, Head of VIP & Institutional at Binance, observes that “this new, mobility–driven class of investors is increasingly turning to citizenship by investment programs as a strategic route to geographic and financial flexibility.”

Townsend Lansing, Head of Product at CoinShares, confirms the broader momentum: “Driven by favorable regulatory winds, institutional adoption has not only arrived — it is surging.” Dr. Guneet Kaur, senior editor at CCN.com agrees, adding that “CBDCs, digital forms of a nation’s legal tender, are being explored by over 100 economies, with 49 countries in the pilot stage as of July 2025. They promise cheaper and faster state–backed payments.”

Crypto–Friendly Jurisdictions

The Henley Crypto Adoption Index, a proprietary tool updated annually, benchmarks the world’s most crypto–friendly countries with investment migration programs. Drawing on more than 750 data points, it offers digital asset investors a clear overview of how these different jurisdictions with residence and citizenship by investment pathways are regulating and adopting cryptocurrency and blockchain.

The index evaluates 29 investment migration programs across six key parameters — Public Adoption, Infrastructure Adoption, Innovation and Technology, Regulatory Environment, Economic Factors, and Tax–Friendliness — enabling investors to identify jurisdictions that best match their priorities.

Singapore leads with exceptional scores across Infrastructure Adoption, Innovation and Technology, and Regulatory Environment. Hong Kong (SAR China) follows with robust Economic Factors and high Tax–Friendliness, while the USA boasts strong Public Adoption and Innovation and Technology metrics. Switzerland and the UAE round out the Top 5 performers, with the Emirates scoring a perfect 10 for Tax–Friendliness, with zero taxes on crypto trading, staking, and mining.

Malta and the UK also score highly overall, both offering sophisticated regulatory frameworks, while Canada, Thailand, and Australia complete the top tier with balanced strengths across multiple factors.

Luxembourg brings deep financial expertise to digital assets while Portugal rewards patient crypto investors — those holding over one year pay no capital gains tax. Austria applies securities tax frameworks to crypto, while Italy’s flat–tax regime for new residents includes foreign–sourced crypto gains. Monaco draws ultra–wealthy crypto holders with zero personal income tax.

St. Kitts and Nevis accepts cryptocurrency for citizenship applications, as does Antigua and Barbuda. Thailand recently announced a five–year capital gains exemption for crypto trading and Malaysia builds fintech capabilities through Digital Free Trade Zone initiatives. Mauritius, Costa Rica, El Salvador, Greece, Latvia, New Zealand, Panama, Türkiye, and Uruguay also have strategies to attract mobile digital asset investors.

Read the Full Press Release

Sarah Nicklin
[email protected]
+27 72 464 8965


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001128928)

Mundo se aproxima de um quarto de milhão de milionários cripto em boom histórico de riqueza

LONDRES, Sept. 23, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — As fileiras de milionários de criptomoedas aumentaram para 241.700 indivíduos em todo o mundo, conforme o recém–lançado Crypto Wealth Report 2025, elaborado pelos especialistas em consultoria internacional de residência e cidadania Henley & Partners. Isso representa um aumento notável de 40% em apenas 12 meses, alimentado por um aumento dramático de milionários de Bitcoin – um aumento de 70% ano a ano para 145.100 detentores – e uma avaliação de mercado total em expansão de US$ 3,3 trilhões em junho de 2025, um salto de 45% em relação ao ano anterior.

No topo da pirâmide da riqueza cripto, o número de indivíduos ultrarricos está aumentando acentuadamente: 450 centimilionários agora controlam carteiras de criptoativos no valor de US$ 100 milhões ou mais, um crescimento de 38% em relação ao ano passado, enquanto o número de cripto–bilionários subiu para 36, um aumento de 29%. Esse crescimento significativo coincide com um ano decisivo para a adoção institucional, destacado pelas primeiras criptomoedas lançadas por um presidente e uma primeira–dama dos EUA.

Dominic Volek, diretor de clientes privados da Henley & Partners, afirma que o aumento da riqueza cripto está forçando governos e administradores de patrimônio a enfrentar uma nova realidade. “As finanças tradicionais pressupõem que o dinheiro tem um endereço fixo – mas a criptomoeda não. A geografia agora é opcional. “Com apenas 12 palavras memorizadas, um indivíduo pode garantir um bilhão de dólares em Bitcoin, instantaneamente acessível de Zurique ou de Zhengzhou.”

Riqueza sem fronteiras

A mudança para o Bitcoin como garantia, em vez de um ativo especulativo, marca uma evolução crítica, como aponta Philipp A. Baumann, fundador da Z22 Technologies, no relatório. . “O Bitcoin está se tornando a base de um sistema financeiro paralelo, onde não é apenas um investimento para especulação sobre a valorização do preço fiduciário, mas a moeda base para acumular riqueza.”

As implicações filosóficas dessa mudança são profundas, segundo Samson Mow, CEO da JAN3, ilustrando a tensão entre os sistemas monetários tradicionais e digitais: “Em qualquer horizonte de longo prazo, a moeda fiduciária tem um destino: o infinito. O Bitcoin, ao contrário, tem o oposto: 21 milhões.” Essa oferta fixa versus expansão infinita representa o que Mow chama de “o paradoxo definidor de nossa era”, à medida que os governos lidam com uma forma de riqueza que existe fora do controle monetário tradicional.

A convergência da riqueza cripto e da mobilidade global está se acelerando. Catherine Chen, diretora de VIP e institucional da Binance, observa que “essa nova classe de investidores voltada para a mobilidade está cada vez mais se voltando para a cidadania por programas de investimento como uma rota estratégica para a flexibilidade geográfica e financeira.”

Townsend Lansing, diretor de produto da CoinShares, confirma o impulso mais amplo: “Impulsionada por ventos regulatórios favoráveis, a adoção institucional não apenas chegou – está aumentando.” A Dra. Guneet Kaur, editora sênior da CCN.com, concorda, acrescentando que “CBDCs, formas digitais de curso legal de uma nação, estão sendo exploradas por mais de 100 economias, com 49 países em fase piloto até julho de 2025. Prometem pagamentos mais baratos e mais rápidos apoiados pelo Estado.”

Jurisdições favoráveis às criptomoedas

O Henley Crypto Adoption Index, uma ferramenta proprietária atualizada anualmente, compara os países mais favoráveis às criptomoedas do mundo com programas de migração por investimento. Com base em mais de 750 pontos de dados, oferece aos investidores de ativos digitais uma visão geral clara de como essas diferentes jurisdições com residência e cidadania por caminhos de investimento estão regulamentando e adotando criptomoedas e blockchain.

O índice avalia 29 programas de migração de investimento em seis parâmetros principais –adoção pública, adoção de infraestrutura, inovação e tecnologia, ambiente regulatório, fatores econômicos e favorabilidade fiscal – permitindo que os investidores identifiquem as jurisdições que melhor correspondem às suas prioridades.

Singapura lidera com pontuações excepcionais em adoção de infraestrutura, inovação e tecnologia, e ambiente regulatório. Hong Kong (RAE da China) vem em seguida, com fatores econômicos robustos e alta favorabilidade fiscal, enquanto os EUA destacam–se em adoção pública e métricas de inovação e tecnologia. A Suíça e os Emirados Árabes Unidos completam os 5 melhores desempenhos com os Emirados marcando um 10 perfeito para favorabilidade fiscal, com zero impostos sobre negociação, staking e mineração de criptomoedas.

Malta e o Reino Unido também apresentam pontuações altas no geral, ambos oferecendo estruturas regulatórias sofisticadas, enquanto Canadá, Tailândia e Austrália completam o nível superior com pontos fortes equilibrados em vários fatores.

Luxemburgo traz expertise financeira aprofundada para ativos digitais, enquanto Portugal recompensa investidores em criptomoedas pacientes – aqueles que mantêm ativos por mais de um ano não pagam imposto sobre ganhos de capital. A Áustria aplica estruturas de imposto sobre valores mobiliários às criptomoedas, enquanto Itália adota regime de imposto fixo para novos residentes, incluindo ganhos de criptomoedas de origem estrangeira. Mônaco atrai detentores de criptomoedas ultrarricos com isenção de imposto de renda pessoal.

São Cristóvão e Nevis aceita criptomoedas para aplicações de cidadania, assim como Antígua e Barbuda. A Tailândia anunciou recentemente de uma isenção de ganhos de capital de cinco anos para o comércio de criptomoedas e a Malásia desenvolve recursos de fintech por meio de iniciativas da Zona de Livre Comércio Digital. Maurício, Costa Rica, El Salvador, Grécia, Letônia, Nova Zelândia, Panamá, Turquia e Uruguai também possuem estratégias para atrair investidores em ativos digitais móveis.

Leia o comunicado de imprensa na íntegra

Sarah Nicklin
[email protected]
+27 72 464 8965


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001128928)

Mundo se aproxima de um quarto de milhão de milionários cripto em boom histórico de riqueza

LONDRES, Sept. 23, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — As fileiras de milionários de criptomoedas aumentaram para 241.700 indivíduos em todo o mundo, conforme o recém–lançado Crypto Wealth Report 2025, elaborado pelos especialistas em consultoria internacional de residência e cidadania Henley & Partners. Isso representa um aumento notável de 40% em apenas 12 meses, alimentado por um aumento dramático de milionários de Bitcoin – um aumento de 70% ano a ano para 145.100 detentores – e uma avaliação de mercado total em expansão de US$ 3,3 trilhões em junho de 2025, um salto de 45% em relação ao ano anterior.

No topo da pirâmide da riqueza cripto, o número de indivíduos ultrarricos está aumentando acentuadamente: 450 centimilionários agora controlam carteiras de criptoativos no valor de US$ 100 milhões ou mais, um crescimento de 38% em relação ao ano passado, enquanto o número de cripto–bilionários subiu para 36, um aumento de 29%. Esse crescimento significativo coincide com um ano decisivo para a adoção institucional, destacado pelas primeiras criptomoedas lançadas por um presidente e uma primeira–dama dos EUA.

Dominic Volek, diretor de clientes privados da Henley & Partners, afirma que o aumento da riqueza cripto está forçando governos e administradores de patrimônio a enfrentar uma nova realidade. “As finanças tradicionais pressupõem que o dinheiro tem um endereço fixo – mas a criptomoeda não. A geografia agora é opcional. “Com apenas 12 palavras memorizadas, um indivíduo pode garantir um bilhão de dólares em Bitcoin, instantaneamente acessível de Zurique ou de Zhengzhou.”

Riqueza sem fronteiras

A mudança para o Bitcoin como garantia, em vez de um ativo especulativo, marca uma evolução crítica, como aponta Philipp A. Baumann, fundador da Z22 Technologies, no relatório. . “O Bitcoin está se tornando a base de um sistema financeiro paralelo, onde não é apenas um investimento para especulação sobre a valorização do preço fiduciário, mas a moeda base para acumular riqueza.”

As implicações filosóficas dessa mudança são profundas, segundo Samson Mow, CEO da JAN3, ilustrando a tensão entre os sistemas monetários tradicionais e digitais: “Em qualquer horizonte de longo prazo, a moeda fiduciária tem um destino: o infinito. O Bitcoin, ao contrário, tem o oposto: 21 milhões.” Essa oferta fixa versus expansão infinita representa o que Mow chama de “o paradoxo definidor de nossa era”, à medida que os governos lidam com uma forma de riqueza que existe fora do controle monetário tradicional.

A convergência da riqueza cripto e da mobilidade global está se acelerando. Catherine Chen, diretora de VIP e institucional da Binance, observa que “essa nova classe de investidores voltada para a mobilidade está cada vez mais se voltando para a cidadania por programas de investimento como uma rota estratégica para a flexibilidade geográfica e financeira.”

Townsend Lansing, diretor de produto da CoinShares, confirma o impulso mais amplo: “Impulsionada por ventos regulatórios favoráveis, a adoção institucional não apenas chegou – está aumentando.” A Dra. Guneet Kaur, editora sênior da CCN.com, concorda, acrescentando que “CBDCs, formas digitais de curso legal de uma nação, estão sendo exploradas por mais de 100 economias, com 49 países em fase piloto até julho de 2025. Prometem pagamentos mais baratos e mais rápidos apoiados pelo Estado.”

Jurisdições favoráveis às criptomoedas

O Henley Crypto Adoption Index, uma ferramenta proprietária atualizada anualmente, compara os países mais favoráveis às criptomoedas do mundo com programas de migração por investimento. Com base em mais de 750 pontos de dados, oferece aos investidores de ativos digitais uma visão geral clara de como essas diferentes jurisdições com residência e cidadania por caminhos de investimento estão regulamentando e adotando criptomoedas e blockchain.

O índice avalia 29 programas de migração de investimento em seis parâmetros principais –adoção pública, adoção de infraestrutura, inovação e tecnologia, ambiente regulatório, fatores econômicos e favorabilidade fiscal – permitindo que os investidores identifiquem as jurisdições que melhor correspondem às suas prioridades.

Singapura lidera com pontuações excepcionais em adoção de infraestrutura, inovação e tecnologia, e ambiente regulatório. Hong Kong (RAE da China) vem em seguida, com fatores econômicos robustos e alta favorabilidade fiscal, enquanto os EUA destacam–se em adoção pública e métricas de inovação e tecnologia. A Suíça e os Emirados Árabes Unidos completam os 5 melhores desempenhos com os Emirados marcando um 10 perfeito para favorabilidade fiscal, com zero impostos sobre negociação, staking e mineração de criptomoedas.

Malta e o Reino Unido também apresentam pontuações altas no geral, ambos oferecendo estruturas regulatórias sofisticadas, enquanto Canadá, Tailândia e Austrália completam o nível superior com pontos fortes equilibrados em vários fatores.

Luxemburgo traz expertise financeira aprofundada para ativos digitais, enquanto Portugal recompensa investidores em criptomoedas pacientes – aqueles que mantêm ativos por mais de um ano não pagam imposto sobre ganhos de capital. A Áustria aplica estruturas de imposto sobre valores mobiliários às criptomoedas, enquanto Itália adota regime de imposto fixo para novos residentes, incluindo ganhos de criptomoedas de origem estrangeira. Mônaco atrai detentores de criptomoedas ultrarricos com isenção de imposto de renda pessoal.

São Cristóvão e Nevis aceita criptomoedas para aplicações de cidadania, assim como Antígua e Barbuda. A Tailândia anunciou recentemente de uma isenção de ganhos de capital de cinco anos para o comércio de criptomoedas e a Malásia desenvolve recursos de fintech por meio de iniciativas da Zona de Livre Comércio Digital. Maurício, Costa Rica, El Salvador, Grécia, Letônia, Nova Zelândia, Panamá, Turquia e Uruguai também possuem estratégias para atrair investidores em ativos digitais móveis.

Leia o comunicado de imprensa na íntegra

Sarah Nicklin
[email protected]
+27 72 464 8965


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001128928)

OPEC Fund mobilizes over US$1 billion to advance sustainable development

VIENNA, Sept. 22, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — The OPEC Fund for International Development (the OPEC Fund) announced the approval of more than US$1 billion in new development financing during the 193rd meeting of its Governing Board and throughout the third quarter of 2025. In a landmark move to further strengthen its development mandate, the institution also successfully issued its first–ever Euro–denominated benchmark bond, raising €500 million on international capital markets.

OPEC Fund President Abdulhamid Alkhalifa said: “The new approvals, alongside our inaugural Euro benchmark bond, are a clear demonstration of our commitment to delivering more for our partner countries. We are deepening our support for resilience, inclusive growth and climate action, while laying the groundwork for long–term opportunities. As we approach our 50th anniversary in 2026, these twin milestones highlight our ability to innovate, grow and drive transformational impact for decades to come.”

The recently approved operations will support transformative projects across Africa, Asia, Latin America and the Caribbean, spanning health, education, clean energy, water and sanitation, sustainable livelihoods and resilient infrastructure:

Public Sector Operations

  • El Salvador: US$70 million to co–finance Surf City Program – Phase II, upgrading roads, expanding sanitation for 70,000 people and improving climate resilience in La Libertad’s tourism zone.
  • Eswatini: US$50 million policy–based loan to support fiscal reforms, strengthen competitiveness and build climate resilience.
  • Fiji: US$30 million for the Pacific Healthy Islands Transformation Project, modernizing health services in Pacific SIDS with digital integration and workforce training.
  • Kyrgyz Republic: US$30 million policy–based loan for the First Sustainable & Inclusive Growth Program, advancing energy reform, social services and business competitiveness.
  • Lesotho: US$40 million for the Integrated Transport, Trade & Logistics Project, rehabilitating roads, bridges and airport facilities to boost trade and safety.
  • Malawi: US$27 million for the Jenda Water Supply & Sanitation Project, providing safe water and improved waste management in a key agricultural hub.
  • Morocco: €100 million policy–based loan to support Economic Governance & Climate Resilience, enhancing efficiency in water and energy management while expanding private sector participation.
  • Papua New Guinea: US$50 million for the Learning Enhancement & Access Project, improving early education for 375,000 students and training 9,000 teachers.
  • Saint Lucia: US$20 million to upgrade the Sir Julian R. Hunte Highway, reducing travel times and improving safety for nearly 95,000 residents.
  • South Africa: US$150 million policy–based loan for Infrastructure Modernization advancing transport and energy reforms for a low–carbon transition.
  • Türkiye: €150 million for the Kars–Iğdır–Aralık–Dilucu (KIAD) Railway Project, constructing a 224 km electrified line to strengthen Eurasian trade connectivity.
  • Uganda: US$30 million for Local Economic Growth Support – Phase II, enhancing agriculture, rural infrastructure and financial inclusion for 3.5 million people.

Private Sector Operations & Trade Finance:

  • Bangladesh: US$30 million to expand trade finance for MSMEs and agribusiness.
  • Côte d’Ivoire: €40 million for a 372 MW combined–cycle power plant, expanding energy security and capacity.
  • Egypt: US$40 million for a 1,000 MW solar–plus–storage facility in Aswan, one of Africa’s largest clean energy plants.
  • Jordan: US$25 million subordinated loan to expand MSME and climate lending.
  • Oman: US$50 million for a large–scale industrial facility producing renewable energy inputs, supporting diversification.
  • Paraguay: US$25 million A–loan as part of an up–to US$50 million OPEC Fund–led syndicated facility to expand SME financing, with focus on women–led enterprises and agriculture.
  • Regional Africa: US$75 million to support cocoa trade finance in Côte d’Ivoire and Ghana, improving traceability and boosting farmer livelihoods.

Strengthening the OPEC Fund’s financial base
The successful €500 million Euro benchmark bond marks a milestone in the OPEC Fund’s funding strategy, broadening its investor base and reinforcing its position as a credible and innovative development finance institution.

The proceeds of the bond will be used to finance and refinance projects aligned with the OPEC Fund’s development mandate, with a strong focus on sustainability and long–term impact.

About the OPEC Fund
The OPEC Fund for International Development (the OPEC Fund) is the only globally mandated development institution that provides financing from member countries to non–member countries exclusively. The organization was established in 1976 with a distinct purpose: to drive development, strengthen communities and empower people in low– and middle–income countries around the world. Our work is people–centered, focusing on financing projects that meet essential needs, such as food, energy, infrastructure, employment (particularly relating to MSMEs), clean water and sanitation, healthcare and education. To date, the OPEC Fund has committed more than US$30 billion to development projects in over 125 countries with an estimated total project cost of more than US$200 billion. The OPEC Fund is rated AA+/Outlook Stable by Fitch and S&P Global Ratings. Our vision is a world where sustainable development is a reality for all.

A photo accompanying this announcement is available at https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/f548d946–c8e5–4427–9bd8–fdd7b4d62cea


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001128896)

Fundo OPEP mobiliza mais de US$ 1 bilhão para promover o desenvolvimento sustentável

VIENA, Sept. 22, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — O Fundo OPEP para o Desenvolvimento Internacional (Fundo OPEP) anunciou a aprovação de mais de US$ 1 bilhão em novos financiamentos para o desenvolvimento durante a 193.ª reunião de seu Conselho de Administração e ao longo do terceiro trimestre de 2025. Em um movimento histórico para fortalecer ainda mais seu mandato de desenvolvimento, a instituição também emitiu com êxito o seu primeiro título de referência denominado em euros, arrecadando € 500 milhões nos mercados internacionais de capitais.

O Presidente do Fundo OPEP, Abdulhamid Alkhalifa, declarou: “As novas aprovações, juntamente com nosso título inaugural de referência em euros, são uma demonstração clara do nosso compromisso em entregar mais para os nossos países parceiros. Estamos aprofundando nosso apoio à resiliência, crescimento inclusivo e ação climática, enquanto criamos as bases para oportunidades de longo prazo. À medida que nos aproximamos do nosso 50.º aniversário em 2026, esses dois marcos destacam a nossa capacidade de inovar, crescer e gerar impacto transformador por décadas.”

As operações recentemente aprovadas apoiarão projetos transformadores na África, Ásia, América Latina e Caribe, abrangendo áreas como saúde, educação, energia limpa, água e saneamento, meios de subsistência sustentáveis e infraestrutura resiliente:

Operações do setor público

  • El Salvador: US$ 70 milhões para cofinanciar o Programa Surf City – Fase II, melhorando estradas, ampliando o saneamento para 70.000 pessoas e aumentando a resiliência climática na zona turística de La Libertad.
  • Essuatíni: US$ 50 milhões em empréstimo baseado em políticas para apoiar reformas fiscais, fortalecer a competitividade e construir resiliência climática.
  • Fiji: US$ 30 milhões para o Projeto Pacific Healthy Islands Transformation, modernizando os serviços de saúde nos SIDS do Pacífico com integração digital e treinamento de profissionais.
  • República do Quirguistão: US$ 30 milhões em empréstimo baseado em políticas para o Primeiro Programa de Crescimento Sustentável e Inclusivo, avançando em reformas energéticas, serviços sociais e competitividade empresarial.
  • Lesoto: US$ 40 milhões para o Projeto Integrado de Transporte, Comércio e Logística, recuperando estradas, pontes e instalações aeroportuárias para impulsionar o comércio e a segurança.
  • Malawi: US$ 27 milhões para o Projeto de Abastecimento de Água e Saneamento de Jenda, fornecendo água segura e uma melhor gestão de resíduos em um importante polo agrícola.
  • Marrocos: € 100 milhões em empréstimo baseado em políticas para apoiar Governança Econômica e Resiliência Climática, aprimorando a eficiência na gestão da água e da energia enquanto amplia a participação do setor privado.
  • Papua Nova Guiné: US$ 50 milhões para o Projeto de Melhoria e Acesso à Educação, melhorando a educação inicial para 375.000 estudantes e capacitando 9.000 professores.
  • Santa Lúcia: US$ 20 milhões para atualizar a Rodovia Sir Julian R. Hunte, reduzindo os tempos de deslocamento e melhorando a segurança para quase 95.000 residentes.
  • África do Sul: US$ 150 milhões em empréstimo baseado em políticas para Modernização de Infraestrutura, avançando reformas em transporte e energia para uma transição de baixo carbono.
  • Turquia: € 150 milhões para o Projeto Ferroviário Kars–Iğdır–Aralık–Dilucu (KIAD), construindo uma linha eletrificada de 224 km para reforçar a conectividade comercial eurasiática.
  • Uganda: US$ 30 milhões para Apoio ao Crescimento Econômico Local – Fase II, aprimorando setores como agricultura, infraestrutura rural e inclusão financeira para 3,5 milhões de pessoas.

Operações do setor privado e financiamento ao comércio:

  • Bangladesh: US$ 30 milhões para expandir o financiamento ao comércio para PMEs e agronegócios.
  • Costa do Marfim: € 40 milhões para uma usina termoelétrica de ciclo combinado de 372 MW, ampliando a segurança e a capacidade energética.
  • Egito: US$ 40 milhões para uma usina solar com armazenamento de 1.000 MW em Assuã, uma das maiores plantas de energia limpa da África.
  • Jordânia: US$ 25 milhões em empréstimo subordinado para expandir o crédito para PMEs e financiamento climático.
  • Omã: US$ 50 milhões para uma instalação industrial de grande escala, produzindo insumos de energia renovável e apoiando a diversificação.
  • Paraguai: US$ 25 milhões em empréstimo A como parte de uma linha sindicada liderada pelo Fundo OPEP de até US$ 50 milhões para expandir o financiamento a PMEs, com foco em empresas lideradas por mulheres e agricultura.
  • África Regional: US$ 75 milhões para apoiar o financiamento ao comércio de cacau na Costa do Marfim e em Gana, melhorando a rastreabilidade e aumentando a renda dos agricultores.

Fortalecimento da base financeira do Fundo OPEP
O bem–sucedido título de referência em euros de € 500 milhões representa um marco na estratégia de financiamento do Fundo OPEP, ampliando sua base de investidores e reforçando sua posição como uma instituição de financiamento ao desenvolvimento confiável e inovadora.

Os recursos do título serão usados para financiar e refinanciar projetos alinhados ao mandato de desenvolvimento do Fundo OPEP, com forte foco em sustentabilidade e impacto de longo prazo.

Sobre o Fundo OPEP
O Fundo OPEP para o Desenvolvimento Internacional (Fundo OPEP) é a única instituição de desenvolvimento com mandato global que fornece financiamento de países–membros exclusivamente para países não membros. A organização foi estabelecida em 1976 com um propósito distinto: impulsionar o desenvolvimento, fortalecer as comunidades e capacitar as pessoas em países de baixa e média renda no mundo todo. Nosso trabalho é centrado nas pessoas, com foco no financiamento de projetos que atendam a necessidades essenciais, como alimentação, energia, infraestrutura, emprego (particularmente para PMEs), água potável e saneamento, saúde e educação. Até o momento, o Fundo OPEP destinou mais de US$ 30 bilhões a projetos de desenvolvimento em mais de 125 países, sendo o custo total estimado dos projetos superior a US$ 200 bilhões. O Fundo OPEP tem classificação AA+/Perspectiva Estável pela Fitch e pela S&P Global Ratings. Nossa visão é um mundo onde o desenvolvimento sustentável seja uma realidade para todos.

Uma foto que acompanha este anúncio está disponível em http://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/f548d946–c8e5–4427–9bd8–fdd7b4d62cea


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001129056)

Le Fonds OPEP mobilise plus d’1 milliard de dollars pour accélérer le développement durable

VIENNE, 22 sept. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Le Fonds OPEP pour le développement international (le Fonds OPEP) a annoncé l’approbation de nouveaux financements pour un montant supérieur à 1 milliard de dollars lors de la 193ᵉ session de son Conseil d’administration et tout au long du troisième trimestre 2025. Dans une avancée majeure destinée à consolider encore sa mission de développement, l’organisation a également procédé avec succès à l’émission de sa toute première obligation de référence libellée en euros, levant 500 millions d’euros sur les marchés internationaux.

Le Président du Fonds OPEP, Abdulhamid Alkhalifa, a déclaré : « Ces nouvelles approbations, combinées à l’émission inaugurale de notre obligation en euros, illustrent clairement notre engagement à offrir davantage à nos pays partenaires. Nous renforçons notre soutien à la résilience, à la croissance inclusive et à l’action climatique, tout en posant les bases d’opportunités à long terme. À l’approche de notre 50ᵉ anniversaire en 2026, ces jalons démontrent notre capacité à innover, à nous développer et à générer un impact transformateur durable pour les décennies à venir. »

Les opérations récemment approuvées soutiendront des projets transformateurs en Afrique, en Asie, en Amérique latine et dans les Caraïbes, dans les domaines de la santé, de l’éducation, de l’énergie propre, de l’eau et de l’assainissement, des moyens de subsistance durables et des infrastructures résilientes :

Opérations du secteur public

  • El Salvador : 70 millions de dollars pour cofinancer la Phase II du programme Surf City, incluant la modernisation des routes, l’extension des services d’assainissement pour 70 000 habitants et l’amélioration de la résilience climatique dans la zone touristique de La Libertad.
  • Eswatini : prêt de 50 millions de dollars basé sur des politiques pour soutenir les réformes fiscales, accroître la compétitivité et renforcer l’adaptation au changement climatique.
  • Fidji : 30 millions de dollars pour le Pacific Healthy Islands Transformation Project (projet de transformation de la santé dans les îles du Pacifique), visant à moderniser les services de santé dans les petits États insulaires en développement du Pacifique grâce à l’intégration numérique et à la formation de la main–d’œuvre.
  • République kirghize : prêt de 30 millions de dollars basé sur des politiques pour le First Sustainable & Inclusive Growth Program (premier programme de croissance durable et inclusive), visant à faire progresser la réforme énergétique, les services sociaux et la compétitivité des entreprises.
  • Lesotho : 40 millions de dollars pour le Integrated Transport, Trade & Logistics Project (projet intégré de transport, de commerce et de logistique), visant à réhabiliter les routes, les ponts et les installations aéroportuaires afin de stimuler le commerce et la sécurité.
  • Malawi : 27 millions de dollars pour le Jenda Water Supply & Sanitation Project (projet d’approvisionnement en eau et d’assainissement de Jenda), qui vise à fournir de l’eau potable et à améliorer la gestion des déchets dans un centre agricole clé.
  • Maroc : prêt de 100 millions d’euros basé sur des politiques pour soutenir la gouvernance économique et la résilience climatique, en améliorant l’efficacité de la gestion de l’eau et de l’énergie tout en élargissant la participation du secteur privé.
  • Papouasie–Nouvelle–Guinée : 50 millions de dollars pour le Learning Enhancement & Access Project (projet d’amélioration de l’apprentissage et de l’accès à l’éducation), qui vise à améliorer l’éducation préscolaire de 375 000 élèves et à former 9 000 enseignants.
  • Sainte–Lucie : 20 millions de dollars pour moderniser l’autoroute Sir Julian R. Hunte, ce qui permettra de réduire les temps de trajet et d’améliorer la sécurité de près de 95 000 habitants.
  • Afrique du Sud : prêt de 150 millions de dollars basé sur des politiques pour la modernisation des infrastructures, visant à faire progresser les réformes dans les domaines des transports et de l’énergie en vue d’une transition vers une économie à faible intensité de carbone.
  • Turquie : 150 millions d’euros pour le projet ferroviaire Kars–Iğdır–Aralık–Dilucu (KIAD), qui prévoit la construction d’une ligne électrifiée de 224 km afin de renforcer la connectivité commerciale eurasienne.
  • Ouganda : 30 millions de dollars pour la Phase II du programme de soutien à la croissance économique locale, qui vise à améliorer l’agriculture, les infrastructures rurales et l’inclusion financière pour 3,5 millions de personnes.

Opérations du secteur privé et financement du commerce :

  • Bangladesh : 30 millions de dollars pour développer le financement du commerce pour les MPME et l’agroalimentaire.
  • Côte d’Ivoire : 40 millions d’euros pour une centrale électrique à cycle combiné de 372 MW, afin de renforcer la sécurité et la capacité énergétiques.
  • Égypte : 40 millions de dollars pour une installation solaire avec stockage de 1 000 MW à Assouan, l’une des plus grandes centrales d’énergie propre d’Afrique.
  • Jordanie : prêt subordonné de 25 millions de dollars pour développer les prêts aux MPME et les prêts liés au climat.
  • Oman : 50 millions de dollars pour une usine industrielle de grande envergure produisant des intrants liés aux énergies renouvelables, contribuant à la diversification économique.
  • Paraguay : prêt A de 25 millions de dollars dans le cadre d’un crédit syndiqué de 50 millions de dollars dirigé par le Fonds OPEP pour développer le financement des PME, en mettant l’accent sur les entreprises dirigées par des femmes et l’agriculture.
  • Afrique régionale : 75 millions de dollars pour soutenir le financement du commerce du cacao en Côte d’Ivoire et au Ghana, améliorer la traçabilité et améliorer les moyens de subsistance des agriculteurs.

Renforcement de la base financière du Fonds OPEP
Le succès de l’émission d’une obligation de référence en euros d’un montant de 500 millions d’euros constitue une étape clé dans la stratégie de financement du Fonds OPEP. Elle élargit son socle d’investisseurs et consolide sa position en tant qu’institution financière de développement crédible et novatrice.

Les fonds levés serviront à financer et refinancer des projets conformes au mandat de développement du Fonds OPEP, en mettant l’accent sur la durabilité et l’impact à long terme.

À propos du Fonds OPEP
Le Fonds OPEP pour le développement international (le Fonds OPEP) est la seule institution de développement mandatée à l’échelle internationale qui fournisse des financements provenant de pays membres exclusivement à des pays non membres. Créée en 1976, l’organisation poursuit un objectif clair : stimuler le développement, renforcer les communautés et donner aux populations des pays à revenu faible et intermédiaire les moyens de s’épanouir. Son action se concentre sur les personnes et vise à financer des projets qui répondent à des besoins essentiels, tels que l’alimentation, l’énergie, les infrastructures, l’emploi (en particulier dans le secteur des MPME), l’eau potable et l’assainissement, les soins de santé et l’éducation. À ce jour, le Fonds OPEP a engagé plus de 30 milliards de dollars dans plus de 125 pays, pour un coût total de projets estimé à plus de 200 milliards de dollars. Le Fonds OPEP est noté AA+ par Fitch et S&P Global Ratings avec une perspective stable. Sa vision est celle d’un monde où le développement durable est une réalité pour tous.

Une photo annexée au présent communiqué est disponible à l’adresse suivante : http://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/f548d946–c8e5–4427–9bd8–fdd7b4d62cea


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001129056)

Der OPEC-Fonds mobilisiert über 1 Milliarde US-Dollar zur Förderung einer nachhaltigen Entwicklung

WIEN, Sept. 22, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Der OPEC–Fonds für internationale Entwicklung (OPEC–Fonds) hat bekannt gegeben, dass er während der 193. Sitzung seines Verwaltungsrats und im Laufe des dritten Quartals 2025 neue Entwicklungsfinanzierungen in Höhe von über 1 Milliarde US–Dollar genehmigt hat. In einem wegweisenden Schritt zur weiteren Stärkung ihres Entwicklungsauftrags hat die Institution außerdem erfolgreich ihre erste auf Euro lautende Benchmark–Anleihe begeben und damit 500 Millionen Euro auf den internationalen Kapitalmärkten aufgenommen.

Der Präsident des OPEC–Fonds, Abdulhamid Alkhalifa, dazu: „Die neuen Genehmigungen sind neben unserer ersten Euro–Benchmark–Anleihe ein klarer Beweis für unser Engagement, mehr für unsere Partnerländer zu leisten. Wir verstärken unsere Unterstützung für Resilienz, integratives Wachstum und Klimaschutzmaßnahmen und schaffen gleichzeitig die Voraussetzungen für langfristige Chancen. Mit Blick auf unser 50–jähriges Jubiläum im Jahr 2026 unterstreichen diese beiden Meilensteine unsere Fähigkeit, innovativ zu sein, zu wachsen und auch in den kommenden Jahrzehnten transformative Veränderungen voranzutreiben.”

Die kürzlich genehmigten Maßnahmen werden transformative Projekte in Afrika, Asien, Lateinamerika und der Karibik unterstützen, die die Bereiche Gesundheit, Bildung, saubere Energie, Wasser und Sanitärversorgung, nachhaltige Lebensgrundlagen und widerstandsfähige Infrastruktur umfassen:

Öffentlicher Sektor

  • El Salvador: 70 Millionen US–Dollar zur Kofinanzierung des Surf City–Programms – Phase II, zur Modernisierung von Straßen, zum Ausbau der sanitären Einrichtungen für 70.000 Menschen und zur Verbesserung der Klimaresilienz in der Tourismusregion La Libertad.
  • Eswatini: Politikbasiertes Darlehen in Höhe von 50 Millionen US–Dollar zur Unterstützung von Finanzreformen, zur Stärkung der Wettbewerbsfähigkeit und zum Aufbau von Klimaresilienz.
  • Fidschi: 30 Millionen US–Dollar für das „Pacific Healthy Islands Transformation Project“ zur Modernisierung der Gesundheitsdienste in kleinen Inselentwicklungsländern im Pazifik durch digitale Integration und Personalschulungen.
  • Kirgisische Republik: Politikbasiertes Darlehen in Höhe von 30 Millionen US–Dollar für das erste Programm für nachhaltiges und inklusives Wachstum zur Förderung der Energiereform, sozialer Dienstleistungen und der Wettbewerbsfähigkeit von Unternehmen.
  • Lesotho: 40 Millionen US–Dollar für das integrierte Verkehrs–, Trade– und Logistikprojekt zur Sanierung von Straßen, Brücken und Flughafenanlagen, um den Handel und die Sicherheit zu fördern.
  • Malawi: 27 Millionen US–Dollar für das Jenda–Projekt zur Wasserversorgung und Abwasserentsorgung, das die Versorgung mit sauberem Wasser und eine verbesserte Abfallentsorgung in einem wichtigen landwirtschaftlichen Zentrum sicherstellt.
  • Marokko: Politikbasiertes Darlehen in Höhe von 100 Millionen Euro zur Unterstützung der wirtschaftlichen Governance und Klimaresilienz, zur Steigerung der Effizienz im Wasser– und Energiemanagement und zur Förderung der Beteiligung des Privatsektors.
  • Papua–Neuguinea: 50 Millionen US–Dollar für das Projekt „Learning Enhancement & Access“, das die frühkindliche Bildung für 375.000 Schüler verbessert und 9.000 Lehrer ausbildet.
  • St. Lucia: 20 Millionen US–Dollar für die Modernisierung des Sir Julian R. Hunte Highways, wodurch die Fahrzeiten verkürzt und die Sicherheit für fast 95.000 Einwohner verbessert werden.
  • Südafrika: Politikbasiertes Darlehen in Höhe von 150 Millionen US–Dollar für die Modernisierung der Infrastruktur zur Förderung von Verkehrs– und Energiereformen für einen Übergang zu einer kohlenstoffarmen Wirtschaft.
  • Türkei: 150 Millionen Euro für das Eisenbahnprojekt Kars–Iğdır–Aralık–Dilucu (KIAD) zum Bau einer 224 km langen elektrifizierten Strecke zur Stärkung der eurasischen Handelsverbindungen.
  • Uganda: 30 Millionen US–Dollar für die Förderung des lokalen Wirtschaftswachstums – Phase II, zur Verbesserung der Landwirtschaft, der ländlichen Infrastruktur und der finanziellen Inklusion für 3,5 Millionen Menschen.

Privatwirtschaftliche Operationen und Trade–Finanzierung:

  • Bangladesch: 30 Millionen US–Dollar zur Ausweitung der Handelsfinanzierung für KKMU und Agrarunternehmen.
  • Elfenbeinküste: 40 Millionen Euro für ein 372–MW–Kombikraftwerk zur Verbesserung der Energiesicherheit und –kapazität.
  • Ägypten: 40 Millionen US–Dollar für eine 1.000–MW–Solar– und Speicheranlage in Assuan, eine der größten Anlagen für saubere Energie in Afrika.
  • Jordanien: Nachrangiges Darlehen in Höhe von 25 Millionen US–Dollar zur Ausweitung der Kreditvergabe an KKMU und für Klimaschutzmaßnahmen.
  • Oman: 50 Millionen US–Dollar für eine groß angelegte Industrieanlage zur Herstellung von Rohstoffen für erneuerbare Energien, zur Unterstützung der Diversifizierung.
  • Paraguay: 25 Millionen US–Dollar A–Darlehen als Teil einer von der OPEC–Finanzierungsgesellschaft geleiteten Konsortialfinanzierung in Höhe von bis zu 50 Millionen US–Dollar zur Ausweitung der KMU–Finanzierung mit Schwerpunkt auf von Frauen geführten Unternehmen und der Landwirtschaft.
  • Region Afrika: 75 Millionen US–Dollar zur Unterstützung der Finanzierung des Kakaohandels in Côte d'Ivoire und Ghana, zur Verbesserung der Rückverfolgbarkeit und zur Förderung der Lebensgrundlagen der Bauern.

Stärkung der finanziellen Basis des OPEC–Fonds
Die erfolgreiche Emission einer Benchmark–Anleihe im Wert von 500 Millionen Euro ist ein Meilenstein in der Finanzierungsstrategie des OPEC–Fonds, da sie seine Investorenbasis erweitert und seine Position als glaubwürdige und innovative Entwicklungsfinanzierungsinstitution stärkt.

Der Erlös der Anleihe wird zur Finanzierung und Refinanzierung von Projekten verwendet, die mit dem Entwicklungsauftrag des OPEC–Fonds im Einklang stehen und einen starken Fokus auf Nachhaltigkeit und langfristige Wirkung legen.

Über den OPEC–Fonds
Der OPEC–Fonds für internationale Entwicklung (OPEC–Fonds) ist die einzige weltweit tätige Entwicklungsinstitution, die ausschließlich Finanzierungen von Mitgliedsländern an Nichtmitgliedsländer vergibt. Die Organisation wurde 1976 mit einem klaren Ziel gegründet: die Entwicklung voranzutreiben, Gemeinschaften zu stärken und Menschen in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen weltweit zu befähigen. Unsere Arbeit ist menschenzentriert und konzentriert sich auf die Finanzierung von Projekten, die grundlegende Bedürfnisse wie Ernährung, Energie, Infrastruktur, Beschäftigung (insbesondere im Zusammenhang mit KKMU), sauberes Wasser und sanitäre Einrichtungen, Gesundheitsversorgung und Bildung erfüllen. Bis heute hat der OPEC–Fonds mehr als 30 Milliarden US–Dollar für Entwicklungsprojekte in über 125 Ländern mit geschätzten Gesamtprojektkosten von mehr als 200 Milliarden US–Dollar bereitgestellt. Der OPEC–Fonds wird von Fitch und S&P Global Ratings mit AA+/Ausblick stabil bewertet. Unsere Vision ist eine Welt, in der nachhaltige Entwicklung für alle Realität ist.

Ein Foto zu dieser Meldung finden Sie unter http://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/f548d946–c8e5–4427–9bd8–fdd7b4d62cea


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001129056)