LONDRES, 18 mars 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Un rapport inédit sur le financement climatique, publié aujourd’hui par le Climate Vulnerable Forum (CVF) et Henley & Partners, met en lumière les défaillances du financement des actions climatiques urgentes. Il examine également la manière dont la migration d’investissements peut débloquer des ressources clés pour financer la résilience climatique dans les pays les plus menacés du monde.

Le CVF est une organisation internationale regroupant 70 pays vulnérables au changement climatique et représentant 1,75 milliard de personnes, soit 20 % de la population mondiale. Or, bien que ce groupe de pays ne produise que 6 % des émissions mondiales, il est confronté aux conséquences les plus graves du dérèglement climatique. D’ici 2030, ces pays auront besoin d’environ 500 milliards de dollars par an pour assurer le financement de l’action climatique, du développement et de la préservation de la nature.

Comme le souligne Mohamed Nasheed, Secrétaire général du CVF et ancien Président des Maldives, dans le rapport Citizenship by Investment: Sustainable Climate Finance for Governments, le financement climatique mondial reste lent, restrictif et largement inaccessible aux pays qui en ont le plus besoin. « Alors que les pays riches retardent l’action climatique et leurs engagements de financement, ceux qui se trouvent en première ligne doivent lutter pour assurer leur survie. Le système financier international faisant défaut, nous avons besoin de solutions audacieuses afin de modifier l’équilibre des pouvoirs en matière de financement climatique. En raison des seuls impacts climatiques, les pays du CVF ont déjà perdu 20 % de leur potentiel de croissance du PIB au cours des deux dernières décennies. Nous ne pouvons pas compter sur la charité des pays industrialisés. Il est donc nécessaire d’engager des initiatives urgentes afin de garantir un accès direct et immédiat au financement de l’action climatique. »

Mobiliser les capitaux privés au profit de la résilience climatique

Fort de son expertise internationale de premier plan en matière de conseil aux gouvernements, Henley & Partners fournit aux pays intéressés des conseils stratégiques sur le développement, la mise en œuvre et la gestion de programmes de résidence et de citoyenneté basés sur l’investissement. À ce jour, le cabinet de conseil a aidé de nombreux États à bénéficier de près de 15 milliards de dollars d’investissements directs étrangers. Sa dernière initiative a conduit à la création du premier programme d’investissement citoyen lié au climat, le Programme de citoyenneté pour la résilience économique et climatique de Nauru.

Dans son rapport, Son Excellence David W.R. Adeang, député et Président de la République de Nauru, en témoigne : « Notre programme finance des initiatives essentielles en matière de résilience, du renforcement des côtes à la modernisation de la gestion de l’eau, sans oublier la production alimentaire durable. Des modèles similaires ont permis de renforcer la résilience climatique dans de petits États insulaires comme la Grenade et Antigua–et–Barbuda, mais celui de Nauru est le premier à accorder une place centrale à l’adaptation climatique. Les innovations que nous mettons en œuvre afin de lutter contre la montée des eaux peuvent contribuer à façonner des stratégies mondiales en matière de résilience. »

Selon l’ONU, les petits États insulaires en développement, les PEID, ont subi 153 milliards de dollars de pertes liées au climat au cours des cinq dernières décennies, alors que leur contribution aux émissions mondiales reste inférieure à 1 %. En outre, le fardeau financier qui pèse sur ces pays se trouve encore aggravé par un déficit de financement de l’adaptation climatique de 34 milliards de dollars. À ces enjeux s’ajoutent le fait que, d’une part, la dette publique de 70 % des PEID dépasse les niveaux d’endettement soutenables et que, d’autre part, les dommages causés par les catastrophes climatiques dans ces régions ont bondi de 90 % entre 2011 et 2022.

Pour Juerg Steffen, PDG de Henley & Partners : « En mobilisant des investissements internationaux, nous pouvons fournir un financement immédiat et sans endettement aux projets de résilience climatique, et proposer ainsi une bouée de sauvetage financière essentielle aux pays vulnérables tout en permettant aux investisseurs de soutenir l’action climatique mondiale. Il est capital de repenser l’interaction entre les fonds et capitaux privés et les besoins de financement public afin de combler le déficit de financement de la lutte contre le changement climatique. »

De la dette souveraine au principe d’équité souveraine (Sovereign Equity)

Le rapport décrit comment les programmes de migration d’investissement peuvent être structurés de manière à créer des Fonds de résilience climatique par migrations d’investissement (ou IMRF, de l’anglais Investment Migration Resilience Funds) qui orientent les capitaux privés vers des projets essentiels en matière de résilience climatique sans accentuer la dette nationale. En associant ces programmes à des fonds de dotation en capital naturel, les pays concernés peuvent obtenir des flux de revenus durables en vue de financer la protection du littoral, les initiatives de compensation carbone et le développement de l’économie bleue. L’exploitation des obligations bleues et le développement de l’écotourisme et des marchés de crédits carbone dans le but de générer des fonds destinés à l’adaptation au changement climatique et à la diversification économique comptent parmi les modèles vertueux dérivés de cette approche.

Jean Paul Fabri, Économiste en chef chez Henley & Partners, explique que « les IMRF ainsi mis en œuvre fonctionneront comme des fonds souverains destinés à réduire les fluctuations économiques, à financer les initiatives de développement durable à long terme et serviront de coussin financier contre les enjeux climatiques et économiques. Cependant, ils se distinguent des modèles traditionnels par l’intégration du financement climatique, de la gestion des risques et du développement économique dans leur gouvernance. »

« Pendant trop longtemps, on a demandé aux pays vulnérables au changement climatique de s’adapter, d’y faire face et de perdurer, comme si la résilience n’était qu’un acte volontaire et non une question d’investissement », insiste Sara Jane Ahmed, Directrice générale du CVF et Conseillère financière du V20 au secrétariat du CVF–V20. « En finançant la résilience climatique, le monde ne se contente pas d’aider les pays à risque : il libère les marchés, renforce les économies et contribue à façonner un avenir commun. L’avenir n’appartient pas à ceux qui attendent, mais à ceux qui ont l’audace de le bâtir. » poursuit–elle.

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LONDON , March 18, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — A groundbreaking climate finance report, released today by the Climate Vulnerable Forum (CVF) and Henley & Partners, highlights the failings in funding urgent climate action and explores how investment migration can unlock vital resources for climate resilience in the world’s most at–risk nations.

The CVF, an international organization of 70 climate–vulnerable countries representing 1.75 billion people — 20% of the global population — accounts for just 6% of global emissions yet faces the most severe impacts of climate breakdown. By 2030, these nations will require an estimated USD 500 billion annually to fund climate action, development, and nature preservation.

As CVF Secretary–General and former President of the Maldives, Mohamed Nasheed, points out in the Citizenship by Investment: Sustainable Climate Finance for Governments report, global climate finance remains sluggish, restrictive, and largely inaccessible to those who need it most. “While wealthy nations delay climate action and funding commitments, frontline countries are left fighting for survival. The international financial system is failing us, and we need bold solutions to shift the balance of power in climate finance. Over the past two decades, CVF countries have already lost 20% of their potential GDP growth due to climate impacts. We cannot rely on charity from industrialized nations. Urgent initiatives are needed to ensure direct and immediate access to climate finance.”

Mobilizing private capital for climate resilience

Through its globally leading international government advisory practice, Henley & Partners has been providing strategic consulting to countries on the development, implementation, and management of investment–based residence and citizenship programs. To date, the firm has facilitated over USD 15 billion in foreign direct investment in many states. Its most recent initiative led to the establishment of the first climate–related citizenship investment program, the Nauru Economic and Climate Resilience Citizenship Program.

Commenting in the report, H.E. Hon. David W.R. Adeang, M.P., President of the Republic of Nauru, says “our program funds critical resilience initiatives — from coastal reinforcement to modernized water management and sustainable food production. Similar models have strengthened climate resilience in small island states like Grenada and Antigua and Barbuda, but Nauru’s is the first to put climate adaptation at its core. The innovations we implement against rising seas can help shape global strategies for resilience.”

According to the UN, Small Island Developing States (SIDS) have suffered USD 153 billion in climate–related losses over the past five decades, despite contributing less than 1% of global emissions, and the financial burden on these nations is further exacerbated by a USD 34 billion climate adaptation finance gap. Compounding these challenges, 70% of SIDS exceed sustainable debt levels, and climate disaster damages in these regions have surged by 90% from 2011 to 2022.

Dr. Juerg Steffen, CEO of Henley & Partners, says “by mobilizing international investment, we can provide immediate, non–debt funding for climate resilience projects, offering a crucial financial lifeline for vulnerable nations while enabling investors to support global climate action. Rethinking how private wealth and capital intersects with public financing needs is key to bridging the climate finance gap.”

From sovereign debt to sovereign equity

The report outlines how investment migration programs can be structured to create Investment Migration Resilience Funds (IMRFs) that channel private capital into critical climate resilience projects without increasing national debt. By linking these programs with natural capital endowment trusts, countries can secure sustainable revenue streams to finance coastal protection, carbon offset initiatives, and the expansion of the blue economy. Successful models of this approach include leveraging blue bonds, eco–tourism, and carbon credit markets to generate funds for climate adaptation and economic diversification.

Henley & Partners’ Chief Economist Jean Paul Fabri explains how, “effective IMRFs will operate like sovereign wealth funds, aimed at reducing economic fluctuations, funding long–term sustainability initiatives, and providing a financial cushion against climate and economic challenges. However, they differ from traditional models by incorporating climate finance, risk management, and economic development into their governance.”

“For too long, climate–vulnerable nations have been told to adapt, cope, and endure — as if resilience were simply an act of will, rather than a matter of investment,” insists Sara Jane Ahmed, Managing Director of CVF and V20 Finance Advisor at the CVF–V20 Secretariat. “By funding climate resilience, the world is not just aiding at–risk nations — it is unlocking markets, strengthening economies, and shaping a shared future. The future belongs not to those who wait, but to those bold enough to build it.”

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LONDON , March 18, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Ein bahnbrechender Klimafinanzierungsbericht, der heute vom Climate Vulnerable Forum (CVF) und Henley & Partners veröffentlicht worden ist, werden die Mängel bei der Finanzierung dringender Klimaschutzmaßnahmen aufgezeigt und untersucht, wie durch Investitionsmigration lebenswichtige Ressourcen für die Klimaresilienz in den am stärksten gefährdeten Ländern der Welt freigesetzt werden können.

Die CVF, eine internationale Organisation von 70 klimagefährdeten Ländern, die 1,75 Milliarden Menschen – 20 % der Weltbevölkerung – repräsentieren, sind für nur 6 % der globalen Emissionen verantwortlich, sind aber am stärksten von den Folgen des Klimawandels betroffen. Bis 2030 werden diese Nationen schätzungsweise 500 Milliarden US–Dollar pro Jahr benötigen, um Klimaschutzmaßnahmen, Entwicklung und Naturschutz zu finanzieren.

Wie der Generalsekretär der CVF und ehemalige Präsident der Malediven, Mohamed Nasheed, in dem Bericht „Citizenship by Investment: Sustainable Climate Finance for Governments“ betont, ist die globale Klimafinanzierung nach wie vor schleppend, restriktiv und für diejenigen, die sie am dringendsten benötigen, weitgehend unzugänglich. „Während wohlhabende Nationen Klimaschutzmaßnahmen und Finanzierungszusagen hinauszögern, kämpfen Länder an vorderster Front ums Überleben. Das internationale Finanzsystem lässt uns im Stich, und wir brauchen mutige Lösungen, um das Kräfteverhältnis in der Klimafinanzierung zu verschieben. In den letzten zwei Jahrzehnten haben die Länder des Commonwealth of the Virgin Islands bereits 20 % ihres potenziellen BIP–Wachstums aufgrund von Klimaauswirkungen verloren. Wir können uns nicht auf die Wohltätigkeit der Industrienationen verlassen. Es sind dringende Initiativen erforderlich, um einen direkten und sofortigen Zugang zu Klimafinanzierung zu gewährleisten.“

Mobilisierung von privatem Kapital für Klimaresilienz

Durch seine weltweit führende internationale Beratungspraxis für Regierungen bietet Henley & Partners Ländern strategische Beratung bei der Entwicklung, Umsetzung und Verwaltung von investitionsbasierten Aufenthalts– und Staatsangehörigkeitsprogrammen. Bis heute hat das Unternehmen in vielen Bundesstaaten ausländische Direktinvestitionen in Höhe von über 15 Milliarden US–Dollar ermöglicht. Die jüngste Initiative des Landes führte zur Einrichtung des ersten klimabezogenen Bürgerbeteiligungsprogramms, dem Nauru Economic and Climate Resilience Citizenship Program.

In seinem Kommentar zu dem Bericht sagt S.E. David W.R. Adeang, M.P., Präsident der Republik Nauru: „Unser Programm finanziert wichtige Resilienzinitiativen – von der Küstenbefestigung bis hin zu modernem Wassermanagement und nachhaltiger Lebensmittelproduktion. Ähnliche Modelle haben die Klimaresilienz in kleinen Inselstaaten wie Grenada und Antigua und Barbuda gestärkt, aber Naurus Modell ist das erste, das die Klimaanpassung in den Mittelpunkt stellt. Die Innovationen, die wir gegen den Anstieg des Meeresspiegels umsetzen, können dazu beitragen, globale Strategien für Resilienz zu entwickeln.“

Laut UN haben kleine Inselstaaten unter den Entwicklungsländern (SIDS) in den letzten fünf Jahrzehnten klimabedingte Verluste in Höhe von 153 Milliarden US–Dollar erlitten, obwohl sie weniger als 1 % der globalen Emissionen verursachen. Die finanzielle Belastung dieser Nationen wird durch eine Finanzierungslücke von 34 Milliarden US–Dollar für die Anpassung an den Klimawandel weiter verschärft. Diese Herausforderungen werden noch verschärft durch die Tatsache, dass 70 % der SIDS über dem Niveau nachhaltiger Verschuldung liegen und die Schäden durch Klimakatastrophen in diesen Regionen von 2011 bis 2022 um 90 % gestiegen sind.

Dr. Jürg Steffen, CEO von Henley & Partners, dazu: „Durch die Mobilisierung internationaler Investitionen können wir sofortige, nicht verschuldete Finanzmittel für klimaresistente Projekte bereitstellen und so gefährdeten Nationen eine entscheidende finanzielle Rettungsleine bieten, während Investoren gleichzeitig die Möglichkeit erhalten, globale Klimaschutzmaßnahmen zu unterstützen. Um die Finanzierungslücke im Klimaschutz zu schließen, müssen wir neu darüber nachdenken, wie sich private Vermögen und Kapital mit dem öffentlichen Finanzierungsbedarf überschneiden.“

Von Staatsschulden zu Staatsbeteiligungen

Der Bericht beschreibt, wie Investitionsmigrationsprogramme strukturiert werden können, um Investitionsmigrations–Resilienzfonds (IMRF) zu schaffen, die privates Kapital in kritische Klimaresilienzprojekte lenken, ohne die Staatsverschuldung zu erhöhen. Durch die Verknüpfung dieser Programme mit Stiftungen für Naturkapital können Länder nachhaltige Einnahmequellen sichern, um den Küstenschutz, Initiativen zum CO2–Ausgleich und den Ausbau der blauen Wirtschaft zu finanzieren. Zu den erfolgreichen Modellen dieses Ansatzes gehören die Nutzung von Blue Bonds, Ökotourismus und Märkten für Emissionsgutschriften, um Mittel für die Anpassung an den Klimawandel und die wirtschaftliche Diversifizierung zu generieren.

Jean Paul Fabri, Chief Economist von Henley & Partners, erklärt, dass „effektive IMRFs wie Staatsfonds funktionieren werden, die darauf abzielen, wirtschaftliche Schwankungen zu reduzieren, langfristige Nachhaltigkeitsinitiativen zu finanzieren und ein finanzielles Polster gegen klimatische und wirtschaftliche Herausforderungen zu bieten. Sie unterscheiden sich jedoch von traditionellen Modellen, indem sie Klimafinanzierung, Risikomanagement und wirtschaftliche Entwicklung in ihre Unternehmensführung einbeziehen.“

„Viel zu lange wurde den klimagefährdeten Nationen gesagt, sie sollten sich anpassen, zurechtkommen und aushalten – als wäre Widerstandsfähigkeit einfach eine Frage des Willens und nicht eine Frage der Investitionen“, betont Sara Jane Ahmed, Managing Director von CVF und V20 Finance Advisor im CVF–V20–Sekretariat. „Durch die Finanzierung der Klimaresilienz hilft die Welt nicht nur gefährdeten Nationen – sie erschließt Märkte, stärkt Volkswirtschaften und gestaltet eine gemeinsame Zukunft. Die Zukunft gehört nicht denen, die warten, sondern denen, die mutig genug sind, sie zu gestalten.“

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LONDRES , March 18, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Um relatório inovador sobre financiamento climático, divulgado hoje pelo Climate Vulnerable Forum (CVF) e pela Henley & Partners, destaca as falhas no financiamento de ações climáticas urgentes e explora como a migração de investimento pode desbloquear recursos vitais para a resiliência climática nas nações mais vulneráveis do mundo.

O CVF, uma organização internacional de 70 países vulneráveis ao clima representando 1,75 bilhão de pessoas — 20% da população global — é responsável por apenas 6% das emissões globais, mas enfrenta os impactos mais graves do colapso climático. Até 2030, essas nações precisarão de cerca de USD 500 bilhões anualmente para financiar ações climáticas, desenvolvimento e preservação da natureza.

Como o secretário–geral do CVF e ex–presidente das Maldivas, Mohamed Nasheed, aponta no relatório Citizenship by Investment: Sustainable Climate Finance for Governments (Cidadania por investimento: financiamento climático sustentável para governos), o financiamento climático global permanece lento, restritivo e amplamente inacessível para aqueles que mais precisam. “Embora as nações ricas atrasem a ação climática e os compromissos de financiamento, os países da linha de frente são deixados lutando pela sobrevivência. O sistema financeiro internacional está nos falhando e precisamos de soluções ousadas para mudar o equilíbrio de poder no financiamento climático. Nas últimas duas décadas, os países do CVF já perderam 20% de seu potencial de crescimento do PIB devido aos impactos climáticos. Não podemos confiar na caridade das nações industrializadas. Iniciativas urgentes são necessárias para garantir acesso direto e imediato ao financiamento climático.”

Mobilizando capital privado para resiliência climática

Através de sua prática de consultoria governamental internacional líder global, a Henley & Partners tem fornecido consultoria estratégica a países sobre o desenvolvimento, implementação e gestão de programas de residência e cidadania baseados em investimento. Até o momento, a empresa facilitou mais de USD 15 bilhões em investimento estrangeiro direto em muitos estados. Sua iniciativa mais recente levou ao estabelecimento do primeiro programa de investimento em cidadania relacionado ao clima, o Nauru Economic and Climate Resilience Citizenship Program (Programa de Cidadania para Resiliência Econômica e Climática de Nauru).

Comentando no relatório, S. Excia. Hon. David W.R. Adeang, M.P., Presidente da República de Nauru, diz “nosso programa financia iniciativas críticas de resiliência – desde reforço costeiro a gestão modernizada de água e produção sustentável de alimentos. Modelos semelhantes fortaleceram a resiliência climática em pequenos estados insulares como Granada e Antígua e Barbuda, mas o de Nauru é o primeiro a colocar a adaptação climática em seu núcleo. As inovações que implementamos contra a elevação dos mares podem ajudar a moldar estratégias globais para a resiliência.”

De acordo com a ONU, os Pequenos Estados Insulares em Desenvolvimento (PEID) sofreram USD 153 bilhões em perdas relacionadas ao clima nas últimas cinco décadas, apesar de contribuírem com menos de 1% das emissões globais, e o fardo financeiro sobre essas nações é ainda mais exacerbado por uma lacuna de financiamento para adaptação climática de USD 34 bilhões. Agravando esses desafios, 70% dos PEID excedem os níveis de dívida sustentáveis, e os danos causados por desastres climáticos nessas regiões aumentaram 90% de 2011 a 2022.

Dr. Juerg Steffen, CEO da Henley & Partners, diz “ao mobilizar investimento internacional, podemos fornecer financiamento imediato e sem dívidas para projetos de resiliência climática, oferecendo uma tábua de salvação financeira crucial para nações vulneráveis, ao mesmo tempo em que permitimos que investidores apoiem a ação climática global. Repensar como a riqueza e o capital privados se cruzam com as necessidades de financiamento público é fundamental para preencher a lacuna de financiamento climático.”

De dívida soberana a capital soberano

O relatório descreve como os programas de migração de investimento podem ser estruturados para criar IMRFs (Fundos de Resiliência de Migração de Investimento) que canalizem capital privado para projetos críticos de resiliência climática sem aumentar a dívida nacional. Ao vincular esses programas a fundos fiduciários de dotação de capital natural, os países podem garantir fluxos de receita sustentáveis para financiar a proteção costeira, iniciativas de compensação de carbono e a expansão da economia azul. Modelos bem–sucedidos dessa abordagem incluem o uso de blue bonds, ecoturismo e mercados de crédito de carbono para gerar fundos para adaptação climática e diversificação econômica.

O Economista–Chefe da Henley & Partners, Jean Paul Fabri explica como, “IMRFs eficazes operarão como fundos soberanos, com o objetivo de reduzir flutuações econômicas, financiar iniciativas de sustentabilidade de longo prazo e fornecer uma proteção financeira contra desafios climáticos e econômicos. No entanto, eles diferem dos modelos tradicionais por incorporar financiamento climático, gestão de risco e desenvolvimento econômico em sua governança.”

“Por muito tempo, as nações vulneráveis ao clima foram orientadas a se adaptar, lidar e suportar – como se a resiliência fosse simplesmente um ato de vontade, em vez de uma questão de investimento”, insiste Sara Jane Ahmed, Diretora–Geral do CVF e Conselheira Financeira do V20 no Secretariado CVF–V20. “Ao financiar a resiliência climática, o mundo não está apenas ajudando as nações em risco – está desbloqueando mercados, fortalecendo economias e moldando um futuro compartilhado. O futuro não pertence àqueles que esperam, mas àqueles ousados o suficiente para construí–lo.”

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